Lors de la lutte pour obtenir le retour du porte-avion Clemenceau, la convention de Bâle qui interdit l’exportation des déchets dangereux des pays OCDE vers des pays « non-OCDE », en d’autres termes, les pays les plus pauvres de la planète, avait donné un cadre à nos actions juridiques. Un pas de plus est fait pour l’interdiction de la délocalisation des activités industrielles dangereuses vers des pays dépourvus de réglementations de protection de la santé et de la vie. Saluons cette avancée qui doit beaucoup à des militants d’organisations telles que le « Basel Action Network ». https://www.ban.org/news/2019/12/5/long-awaited-global-ban-on-exporting-hazardous-waste-to-developing-countries-becomes-law-today