« Notre maison brûle et nous ne regarderons plus ailleurs ». Un an après la catastrophe de Lubrizol, un ensemble de personnalités, partis et collectifs appellent à se réunir le 26 septembre devant les sites industriels dangereux autour de chez soi. L’idée est de « lancer un réseau d’auto-défense populaire » et de créer une cartographie contributive pour « se réapproprier nos terres face à l’emprise que les dangers industriels font peser sur nos vies ».